Analyse du territoire

Cybercomett

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Bon, vu la motivation sur le tutorat éléctronique du CNED, je vais poser ma question sur CCO :laugh:

Alors voilà : Dans le chapitre 3 (les acteurs du patimoine) le grand 2 (la législation spécifique la protection du patrimoine) p.53,

Le cours précise qu'à partir de 1945, dans le domaine des beaux-arts il y a deux notions essentielles :
- La notion d'inaliénabilité : Ni donner, ni vendre mais échangée, prêtée ou disposée d'une oeuvre ;
- Le principe d'imprescribilité : L'oeuvre appartient toujours au même propriétaitre.

Le soucis c'est que si l'oeuvre est échangée avec une autre, les propriétaires seront changés également :blink:... Je trouve ses notions un peu paradoxales... Ou alors j'ai mal compris. :pascompris;

Merci beaucoup. :cool:
 

Tchoupidou

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Tiens j'ai trouvé ça en faisant une simple recherche sur google.

Si "Le Louvre" est avant tout une marque susceptible de s'implanter à Dubaï, cette approche va à l'encontre de deux principes sacralisés : le principe d'inaliénabilité et le principe d'imprescribilité des collections publiques. En effet, dès lors qu'une oeuvre entre dans un musée labellisé "musée de France", l'oeuvre n'est plus susceptible de ressortir de l'institution (elle ne peut être ni cédée ni prêtée), sauf pour être prêtée.

Aux Etats-Unis en revanche, de tels principes n'existent pas, les musées n'hésitent pas à revendre pour acheter.)

Le rapport préconise l'approche américaine dans le but de préserver les moyens et le prestige des musées nationaux.


ça vient de ce blog http://www.ninaworks.org/?tag=location
 

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