Je me pose cette question car à priori je possède un travail, je gagne ma vie, je suis en CDI, j'ai un toit sous ma tête, des parents qui m'aiment et je ne devrais pas me plaindre..Pourquoi ressentir alors ce malaise latent qui me poursuit sans arrêt malgré cette "pseudo" réussite ??
Parce que tu n'as pas trouvé de type ?
Plus sérieusement (bien que cette petite réponse/question sous entend quelque chose d'Enorme et de fondamentale), il est marrant ton premier lien, celui du psy.
Ce qui est typique avec ces hommes de sciences, c'est qu'à chaque fois ils frolent du doigt la solution, ils en parlent sans en parler, tournent autour, mais n'osent jamais s'y aventurer. On pourrait presque penser qu'ils vont conclure par LA réponse, LA solution, LA Seule.
Mais nan, ils n'osent pas. Ils ne veulent pas. Alors qu'elle est simple.
Absorbé par leur esprit scientifique, leur "vouloir-guérir" (tant physiquement que psychologiquement) ils loupent tout.
Pourtant toute la dialectique de cette Solution se trouve dans ses mots.
Par exemple :
Réussir sa vie,
avoir le goût
de vivre,
c’est choisir
chaque jour
de poser des gestes
qui ont du sens,
qui sont source
de tendresse,
d’amitié, de joie,
de partage
et de coopération.
Moi, ça me rappelle des choses, des mots.
Ou alors ça :
Khalil Gibran a une très belle définition
du travail. Il dit : « C’est l’amour
rendu visible. » Pour moi, cela signifie
que l’on peut partager avec les autres
ce que nous savons faire, ce que nous
aimons faire.
Là, on sent qu'il frolle la solution, il cite ce qu'il faut... Mais jamais il n'arrive à la bonne conclusion.
Tiens, je te/vous passe le poême en entier, "Sur le Travail" , issu de
Le Prophète :
http://meltingpot.fortunecity.com/upper/560/kg07.htm
Même dans sa conclusion on pressent qu'il peut arriver à dire clairement ce qu'il faut faire, où lire, où trouver la recette pour avoir une "bonne" vie pour reprendre ton mot Smart.
Riches ou pauvres, handicapés ou
bien portants, nous pouvons tous réussir
notre vie. Chaque être humain a besoin
de se sentir respecté et aimé, de
croire qu’il est utile, de voir qu’il contribue
à bâtir quelque chose. Nous sommes
tous aussi un peu responsables de
la réussite des autres. Le regard que
nous portons sur eux peut les faire
grandir ou bien les démolir.
L'autre lien est du même acabit : les "nouveaux codes" ne sont pas si nouveaux que ça.
Bref, pour moi la réponse à ta question est claire : oui on est capable de donner du sens à notre vie, il suffit de savoir où chercher, qui écouter.
Donc bon, "nouveaux codes", "situation nouvelle", c'est faux... Comme dirait l'autre, tout ça fait parti de ces "choses cachées depuis la fondation du monde"
ps : c'est volontairement que je ne donne pas la solution... hu hu ça serait trop facile.