En tous cas, taper sur les centres de formation, c'est un peu facile...
Souvenez vous que les contrats ont été signés en septembre 2004, nous avions très peu d'infos à ce moment là et nous étions loin de nous douter que certains dossiers seraient refusés. Exemple: le centre de formation. Cette entreprise était tout à fait valable en action co. Une de nos étudiantes y avait obtenu 18 en CPAP l'année précédente en faisant des missions qui sur le principe sont valables en acrc (phoning, mailing, etude de satisfaction..) et aujourd'hui on nous dit que ce n'est pas recevable.
Par contre on va applaudir quelqu'un qui fait exactement les mêmes missions dans un banque (même si c'est une agence sans caisse et que le jeune n'a pas vu un client pendant 6 semaines).
Bref, on joue sur les mots et sur l'interprétation.
On ne juge pas le jeune sur ses compétences, mais sur sa capacité a avoir trouvé une entreprise qui cadre bien dans les petites cases du référentiel.
C'est là qu'est le problème. Il ne faut pas avertir les jeunes 2 jours avant l'examen et mettre en l'air leur travail d'un an et demi, voire pire, les laisser passer avec une entreprise à la "limite" de la conformité et ensuite, le "descendre" à l'oral.
Quitte à faire un contrôle de la conformité, il faut le faire en septembre pour que les jeunes puissent se retourner s'il y a un problème, ou autoriser que les missions puissent être réalisées dans plusieurs entreprises.