Comme pour chaque profession, il existe un business des profs. Je ne parle pas des bédés, des multiples récits d’aventures en banlieue de néo-titulaires, ou des recueils de perles dans le grand commerce, destinés à tous, mais bien des produits destinés à l’ignoble métier de privilégiés profiteurs sans scrupules dont je fais partie.
La suite dans ce succulent billet
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