Voila ce que ca donne, dites moi ce que vous en pensez, merci
L’exclusion est un sujet préoccupant pour les sociétés de notre époque. Il s’agit d’une phénomène grandissant est particulièrement difficile a résoudre même pour un pays riche tels que la France.
Afin d’exposer au mieux ce problème, 4 documents nous aide a comprendre ce fait.
Les deux premiers sont des interviews accordé en septembre 1994 par Jean-Batiste de Foucauld commissaire au plan dans le journal MACAM JOURNAL pour l’un et l’autre d’un ancien ministre, René Lenoir pour la Croix de l’événement, dans lesquels il expose les fait et cherche à donner une réponse afin d’améliorer la situation. Le troisième document est un tableau intitulé « Les noyaux durs de la grande exclusion » réalisé par Christian Chasseriaud en 1992 réalisé pour le ministre des affaires social et pour finir dans un quatrième document un dessin de Decottignies de 1994 représentant un mendiant qui recherche un regard de la société.
Dans une première partie, nous allons chercher à comprendre qui sont ces exclus mais aussi rechercher les causes de ces exclusions et ces conséquences. Puis dans une deuxième partie, nous expliquerons comment trouver des solutions sans oublier les obstacles que l’on peux rencontrer
Tous ces document montrent les différents visages de l’exclusion avec l’évolution quel rencontre.
Tout d’abord René Lenoir définit le profil des exclus dans son interview comme étant ceux qui dans une société prospère pas n’arrive pas à jouir d’un revenue convenable ainsi que d’une protection proposé à tous avec une absence de liens sociaux. Comme nous le montre avec une grande force dans son dessin Decottignies, « l’exclus » recherche se lien afin de se sentir à nouveaux intégrer. Mais Lenoir ne s’arrête pas la puisqu’il va même jusqu’à nous dire que toutes les catégorie social sont touchés par ce fléau. Il ne s’agit pas d’une petit partie de la société car comme le chiffre le tableau de Chasseriaud il s’agirait de plus de 6 180 000 de personnes qui serait en concernées et de 2 090 000 en grande difficultés. En 1974, il s’agissait de trois catégories nous dit Lenoir, la première concerné les personnes, la deuxième les handicapés et la troisième les « inadaptés sociaux ». En vingt ans, la société a pu résoudre le problème lié au deux premières catégorie par des « bonnes loi » mais cependant pour la dernière, sont chiffre ne cesse de croître. Elle est composée de jeune en difficulté, de parents généralement seuls, de personne isolé, de suicidaires, de drogués ou bien encore d’alcoolique.
Le rapport chiffré nous donne des chiffres alarment pour un pays développer tels que la France puisque l’on parle de 3 millions d’illettrés, d’un quart de million de SDF, de 575 000 rmiste, de 900 000 personne depuis longtemps au chômage avec donc une absence total de lien social car comme nous informe De Foucauld plus le retour vers un travail ou un rapport social dur longtemps plus la personne concerné de désocialise.
Les causes sont variés est sont du non pas seulement au chômage nous rapporte De Foucauld mais aussi à trois crises que rencontre notre nation : celle de l’emploi, du lien social et du sens. Lenoir renforce cette idée en dissent l’exclusion se fait à cause d’une période de chômage de masse. Cependant, Decottignies dans son dessin nous fait comprendre qu’il n’existe pas seulement des raisons économiques mais aussi des raisons d’ordre plus humaine, qu’une certaines dénigration de la population qui ferme les yeux sur les gens qui les entoure en ne les regardant plus renforce le renferment des exclus. Son dessin exprime parfaitement se sentiment où le personnage cherche un « 1 ou 2 regard francs pour retrouver sa dignité », l’image est donc très forte de sens, puisqu’il ne recherche plus l’argent mais la reconnaissance. De Foucauld rajoute aussi dans se sens que la société rencontre une certaines pertes de lien social et de solidarité (phénomène d’époque : éducation monoparental, isolement, etc.)
Les conséquences sont très facilement perceptible, en l’espace de 35 ans les psychotropes et antidépresseurs sont 6 fois plus prescrit, les familles de sépare, les liens se distendent nous dis Lenoir. L’exclu est donc seul confirme Foucauld qu’il n’a aucun lien avec d’autres acteurs, que contrairement à lutte contre l’exploitation qui rassemblait un groupe homogène, l’exclu ne peux avoir un rapport qu’avec lui-même., qu’ils sont rejeter par les « inclus » qui refuse de voir se qu’il pourrait leur arrivé. Le tableau nous informe que beaucoup de ces exclus rencontres de grosse difficulté qu’elles soient psychologiques, d’illettrisme ou bien encore pénales.
Qu’est il possible alors de faire afin de réagir à ce phénomène croissant.
Les réponses sont varier mais tourne généralement autour du même problème. Trouver un moyen d’accorder les acteurs. Lenoir nous expose le fait de la difficulté de se faire entendre car il existe 7 ministères traitant individuellement le problème, on ressent donc une certaine difficulté de organisation. De plus De Foucauld nous parle de 7 leviers qu’il serait bon activer (la politique, le temps de travail, etc..) qui rencontre 7 acteurs (entreprises, syndicalistes, etc..) , cependant au lieu de mettre en synergie ces actions, la France rencontre un souci d’ « interactions » qui organise mal tous ça. On remarque aussi que malgré l’apport de ressources financière, de nouvelles allocations d’assistance ou de dispositif, les chiffres ne cesse d’augmenter.
Il est serait donc bon nous dissent les deux professionnel de pouvoir coordonné ces services et que tous le monde aille dans le même sens. Jean-Batiste De Foucauld propose une prise d’initiative, de solidarité et de reconnaissance de l’autre, que les dispositifs des organismes ne seraient fonctionnés sans l’aide et le soutien du peuple. L’exclu pour se réintégrer doit pouvoir compter sur une aide social, de pouvoir être soutenu par une communauté. Il propose même la création d’un collège de sages afin de provoquer un débat collectif pour trouver des solutions qui seront inscrit dans la durée. Comme Decottignies nous le montre, le regard d’un « inclus » permettrait aux « exclus » de retrouver leur dignité. En croisant le dessin et les propos de De Foucauld, il est important de dire que les exclus doivent être reconnue la communauté d’inclus afin de créer un groupe de cohésion social et de faire entendre la voix des exclus.
Ces documents nous montre la difficulté de mise en œuvre afin de résoudre l’exclusion social, on constate qu’il s’agit non pas d’un phénomène isolé mais plutôt grandissant avec des différentes causes. Il serait bon pour combattre se problème de faire marché les organisme dans le même sens et de simplifier les difficulté de communication entre ministère mais aussi de faire ressentir a la population l’importance d’une forte solidarité.
Pour ma part, je pense que l'exclusion, est ceci tout les documents l'attestent est un problème crucial dans notre société. L'étude du dossier montre bien qu'elle n'est pas négligée et montre aussi la bonne volonté que l’on essaye de mettre en place pour y remédier. L'optimisme ne semble pourtant pas de rigueur, lorsque l’on vois des termes tels que "noyaux dur" dans le tableau, cela nous laisse presque entendre que le problème ne pourra jamais, au vu du développement de notre société, être résolue. Il faut rappeler a quel point il est difficile de faire se coordonné les administrations et faire sentir à la population le besoin de soutenir ces exclus sans quoi le problème de l’exclusion social ne cessera de faire parler d’elle….
