Salut Amandinedadou!
Je rentre à peine et je suis un peu crevé! Mais demain, je serai beaucoup plus libre; je vais étudier ton cas qui n'est pas trop compliqué car il s'agit d'une note d'information et non pas d'une dissert!! Attends jusqu'à demain, et je te ferai une petite note à propos des questions qui te sont posées; Tu verras, ce n'est pas bien compliqué! Dors bien, et à demain, Micheco.
ça y est, on est vendredi, j'ai fait ta note d'information; Voilà ce que je te propose: dis moi combien t'as eu et les remarques de ton prof, cela me sera utile. :smile: :smile:
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[size=10pt]Note d'information[/size][size=10pt].[/size]
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[size=10pt]Destinataire[/size][size=10pt]: Site internet de la CGPME.[/size]
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[size=10pt]Objet[/size][size=10pt]: La situation du commerce extérieur français en 2008/2009.[/size]
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[size=10pt]1) Les chiffres et leur interprétation[/size][size=10pt].[/size]
[size=10pt] 2008 a été une très mauvaise année pour le commerce extérieur (CE) français, avec un déficit record de 55,7 milliards d'€, aggravant ce déficit commencé en 2004 (-4,8), et se prolongeant les années suivantes (-23,3/-29/-40,6).[/size]
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[size=10pt]Deux principales causes à ces déficits:[/size][size=10pt][/size]
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[size=10pt]1- [/size]
[size=10pt]L’augmentation continue du prix du baril[/size][size=10pt] jusqu’à l’automne 2008 (130$), prix qui a aujourd’hui largement chuté (58$).[/size]
[size=10pt]Cela étant, si cette hausse a « plombé » notre facture énergétique par les nécessaires importations en matières 1° indispensables à nos industries, [/size]elle a affecté tous les pays, et certains s’en sont mieux sortis que d’autres, et notamment que la France.
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[size=10pt]2- [/size]
[size=10pt]La baisse des exportations d’automobiles[/size][size=10pt], tant sur le marché européen qu’à l’international hors U.E.[/size]
[size=10pt]Là aussi, la hausse du prix des matières 1° est un des facteurs pénalisant, mais ce n’est pas le seul :[/size]
[size=10pt]D’une part[/size][size=10pt], la décomposition internationale des processus de production [faire fabriquer les différentes pièces d’une voiture dans différents pays où les coûts de fabrication (main d’œuvre, fiscalité...) sont moindres qu’en France] entrainent, pour nos constructeurs, des rapatriements de pièces entrant dans la comptabilisation des importations françaises.[/size]
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[size=10pt]D’autre part, [/size][size=10pt]la France s’est plutôt spécialisée dans les modèles moyens et bas de gamme[/size][size=10pt], contrairement aux allemands, qui disposent eux aussi de très bons produits dans ce segment, mais qui se sont aussi spécialisés dans le haut et le très haut de gamme (BMW, Mercédès, Porsche...) dont les utilisateurs du monde entier, par leur pouvoir d’achat élevé, ne ressentent absolument pas les effets de la crise de la même façon que les conducteurs des segments inférieurs, et leur demande reste stable, voire en hausse, par un désir de se différencier du conducteur « moyen ». En outre, dans le commerce intra branche automobile (voitures contre voitures), les modèles français, bien que de très bonne qualité, sont moins compétitifs que leurs concurrents, notamment japonais et sud coréens en termes de prix, ou allemands en termes de notoriété.[/size]
[size=10pt]Quant à nos tentatives dans le segment des 4/4, elles demeurent très concurrencées par les produits japonais et sud coréens, qui ne souffrent pas d’un déficit de marque comme P.S.A. ou Renault, qui ne sont pas ou pas encore des références dans ces segments.[/size]
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[size=10pt]Donc,[/size][size=10pt] il serait peut être bon de s’interroger sur les choix de spécialisation de branche et de secteurs, afin de pouvoir rivaliser de meilleure manière avec nos principaux concurrents et rivaux.[/size]
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[size=10pt]A côté de ces 2 principales raisons, nous pouvons également citées :[/size]
[size=10pt]- La hausse du prix des produits et métaux non ferreux, issue de l’augmentation du cours des matières 1° industrielles,[/size]
[size=10pt]- La très forte concurrence des produits électroniques grand public asiatiques.[/size]
[size=10pt] [/size] [size=10pt](Source : www.netiris.fr)[/size]
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[size=10pt]2)[/size][size=10pt] Les perspectives.[/size]
[size=10pt]Alors qu’au début 2008, la parité euro/dollar était de 1,5 (1,5 $ pour obtenir 1€), celle-ci est [/size]aujourd’hui de 1,3.
[size=10pt]La différence est certes faible, mais les exportations, dont celles de la France, vont couter moins chères aux autres pays, tandis que nous devrons payer plus cher nos importations libellées en $, ce qui devrait faire baisser leur volume. Le problème demeurera néanmoins épineux dans la mesure où il faudra trouver à qui vendre ! [/size]
[size=10pt] [/size]Si, comme le dit A.M. Idrac, secrétaire d’Etat au commerce extérieur, les exportations devraient stagner en 2009, les importations devraient par contre baisser, par l’effet d’une baisse de la demande des entreprises et consommateurs nationaux, tant en produits étrangers que français, eux aussi facteurs de déficit dans la mesure où il faut importer des matières 1° pour les fabriquer.
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[size=10pt]3)[/size][size=10pt] La situation des P.M.E. françaises.[/size]
[size=10pt]Par comparaison avec le tissu industriel allemand (Rapport Carayon, 2006), notre situation n’est pas favorable.[/size]
[size=10pt]C’est pourquoi le gouvernement a décidé de mettre en œuvre plusieurs mesures destinées à améliorer le sort de nos P.M.E. à l’international, dont les suivantes :[/size]
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[size=10pt]Renforcement des instruments de soutien des entreprises à l’export[/size][size=10pt], par la pratique du portage, (aide fournie par les grands groupes aux P.M.E. notamment en logistique, communication...)[/size]
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[size=10pt]Informations et conseils aux P.M.E. sur les marchés étrangers convoités[/size][size=10pt],par l’étude, notamment en Chine qui représente un fantastique marché pour les occidentaux, des comportements locaux (Formalités douanières, habitudes de consommation et de négociation, dangers de la contrefaçon...)[/size]
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[size=10pt]Concentration des efforts sur les marchés de proximité[/size][size=10pt], dont le pourtour méditerranéen, avant de se lancer dans le « grand large », en Indonésie, Vietnam ou Ukraine et pays du Golfe. [/size]
[size=10pt]Pour ces différentes mesures, nous devrions pouvoir copter sur des groupes tels que Total ou encore Carrefour, ainsi que sur les différentes antennes de la Chambre de Commerce et d’Industrie établies à l’étranger, dont la Chine.[/size]
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[size=10pt]En conclusion[/size][size=10pt], [/size][size=10pt]la situation du commerce extérieur français n’est pas à l’heure actuelle particulièrement satisfaisante, mas une profonde réflexion sur nos priorités industrielles ainsi qu’un effort gouvernemental pour les P.M.E. devraient, à l’horizon 2010/2011, porter ses fruit et entrainer une amélioration sensible de la conjoncture du commerce extérieur français actuel.[/size]
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