congé pour reprise du logement ... temps de regard du locataire?

hamstaro

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bonjour, un proprietaire a donné congé pour reprise de son logement au bout des trois ans du bail ( qu'il a fait notifié six mois moins un jours par lettre recommandée avec accusée de reception). je souhaiterais connaitre la durée du temps de regard des locataires qui "se sont fait mettre dehors".
 

Jere3010

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hamstaro link=topic=81899.msg901357#msg901357 date=1210013441 a dit:
bonjour, un proprietaire a donné congé pour reprise de son logement au bout des trois ans du bail ( qu'il a fait notifié six mois moins un jours par lettre recommandée avec accusée de reception). je souhaiterais connaitre la durée du temps de regard des locataires qui "se sont fait mettre dehors".
Je suis pas sûr d'avoir bien compris la question. Tu veux savoir de quel délai dispose les locataires pour contester le congé ?
 

hamstaro

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LOL :chessy: j'ai du mal m'exprimer; un exemple:
mon propriétaire récupère son logement pour y vivre donc me le notifier. Je pars au premier janvier, je me rends compte qu en faite il n y a vécu que deux mois ai je le droit de me retourner contre lui? et quelle est alors le delais légal pour le locataire qui a été mi dehors pour avoir un recours éventuel?
 

Jere3010

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hamstaro link=topic=81899.msg901400#msg901400 date=1210015188 a dit:
LOL :chessy: j'ai du mal m'exprimer; un exemple:
mon propriétaire récupère son logement pour y vivre donc me le notifier. Je pars au premier janvier, je me rends compte qu en faite il n y a vécu que deux mois ai je le droit de me retourner contre lui? et quelle est alors le delais légal pour le locataire qui a été mi dehors pour avoir un recours éventuel?
Ok. D'après le memento de gestion immobilière :
La loi de 1989 n'impose pas de durée minimale d'occupation des locaux par le bénéficiaire de la reprise. Le bailleur ne peut donc pas être tenu d'indemniser son locataire pour non-renouvellement du bail même si le bénéficiaire de la reprise n'occupe les lieux que pendant quelques mois (Cour de Cassation, 3ème Chambre Civile, 18/11/1998), à moins de démontrer le caractère frauduleux du congé.
 

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