patrice084
Best Member
Le 28 avril 2006 2006, elle débarquait en toute légalité de sa slovénie pour venir gambader dans les forêts pyrénéennes. Un peu plus d'un an après, elle défraye la chronique avec son appétit pour les brebis pas forcément égarés.
Les bergers sont poussé à bout et on peut les comprendre. Bientôt la crainte va arriver chez les autochtones si l'ourse s'approche trop prêt des habitations. De là à souhaiter qu'un drame arrive... c'est un pas près d'être franchi.
Cela pose donc le problème de la cohabitation entre les animaux sauvages et l'humain. L'ours dans les pyrénnées, le loup dans les Alpes... Je suis d'un avis partagé. Mon côté nature me pousse à accepter ces réintroductions, mon côté agricole me pousse à les refuser pour la sauvegarde du métier de berger de hautes montagnes.
Que doit-on favoriser ?
Les bergers sont poussé à bout et on peut les comprendre. Bientôt la crainte va arriver chez les autochtones si l'ourse s'approche trop prêt des habitations. De là à souhaiter qu'un drame arrive... c'est un pas près d'être franchi.
Cela pose donc le problème de la cohabitation entre les animaux sauvages et l'humain. L'ours dans les pyrénnées, le loup dans les Alpes... Je suis d'un avis partagé. Mon côté nature me pousse à accepter ces réintroductions, mon côté agricole me pousse à les refuser pour la sauvegarde du métier de berger de hautes montagnes.
Que doit-on favoriser ?