macross link=topic=24207.msg217262#msg217262 date=1146768503 a dit:
Je pense que dans ce boulot c'est 60 % de travail et d'investissement et 40 % de chance ! Enfin...cela n'engage que moi :biggrin:
Effectivement, avoir une bonne étoile aide beaucoup dans ce métier. Si tu te rends compte que tu n'as pas de bol, et que la pouasse colle à tes affaires, c'est assez déprimant et tu remets beaucoup ton travail et ton investissement en question.
Pour répondre à la question initiale, je pense qu'une fois de plus, ça dépend des responsabilités que te laisse l'agence dès le départ. Mais aussi, et surtout, de la confiance que toi, tu as en toi. Attention cependant à ne pas faire l'effet du soufflet, comme ça l'a été pour beaucoup (certains, d'autres diront) d'entre nous. Au début, tu vas peut-être trouver que tout va vite. La motivation est là, c'est bien. Mais il ne faut pas s'endormir. Commence doucement, et, si tu fais ta première vente dans les 3 premiers mois, c'est bien. Les objectifs sont là pour te motiver, pas pour te faire stresser.
Comme Ju l'a dit, il vaut mieux prendre son temps pour rentrer un bon mandat que tu vendras facilement, que de rentrer plein de mauvais mandats qui n'aboutiront a aucune vente. Ca, c'est évident.
Et au niveau des conseils pour rentrer des mandats, sur l'aspect personnel des choses, je répète ma règle des 3H : Humilité, Honnêteté, Humanité... C'est les qualités indispensable pour être un(e) bon(ne) négo, à mon avis. Cf l'ancien topic :
http://www.cultureco.com/chat-bts/index.php/topic,17395.msg157637.html#msg157637
Etre nouvelle t'aidera peut-être pour "amadouer" les clients, mais à manier avec précaution. Ils veulent avant tout un professionnel qui sera capable de vendre leur bien immobilier. L'idéal est de bien connaître le secteur. Et surtout de communiquer avec les autres collaborateurs de l'agence, savoir un peu l'historique du quartier, ce qui a été vendu, etc etc... dès qu'on leur parle de quelque chose qu'ils connaissent, les clients accrochent plus.
[sup]Par exemple, dans le bled de mon agence, je me suis renseigné à fond sur l'usine qui embauchait la moitié du petit village de l'époque durant la première moitié du 20e siècle... Petit village est devenu grand, et de génération en génération, un bon quart de la population a eu un ailleul qui a travaillé dans cette usine. Bilan = l'usine a fermé bien avant que je ne vienne au monde, mais je suis capable de papoter avec les anciens pendant des heures dessus... et là, c'est jackpot ! [/sup]
Voilà mon modeste avis qui n'engage que moi...