Bonjour,
Voilà je suis en pleine révision et je bloque sur les ± VALUES dans le calcul de l’IS. Comme c’est un cours que j’ai plus ou moins survolé, je souhaiterai que quelqu’un corrige mes dires et si il parvient réponde à mes questions. D’avance merci, c’est un peu long.
( BIC et IS sous entendent les entreprises soumises à…)
Pour le calcul des ± VALUES nettes, avec distinction entre court et long terme, ça va, j'ai compris. Je ne l’ai pas repris ici.
Pour les ± VALUES nettes professionnelles:
Les ± values à court terme : rien à faire excepté pour les « BIC » qui souhaitent étaler les + values sur 3 ans. (si constaté en N : 2/3 sont à retirer du résultat fiscal N, 1/3 à réintégrer sur N+1 puis 1/3 sur N+2)
Les ± values à long terme :
+ Value : à déduire du résultat fiscal car imposé à un tx différent (15% pour l’IS et 16% pour les BIC) excepté si l’entreprise est déficitaire et souhaite compenser son déficit.
-Values : non déductibles, elles sont toutes à réintégrer mais peuvent compenser les 10 prochaines + values nettes à long terme. (pourquoi l'administration considère qu'elles ne sont pas à prendre en compte ?)
Cas particulier des + values sur titres :
Concerne uniquement les IS.
Les obligations : ne sont pas considérées comme + value professionnelle => pas de traitement fiscal particulier.
Les actions :
Les titres de participation : cession considérée comme + value professionnelle, à déduire du résultat fiscal pour imposition séparée à 15%.
D‘OPCVM : tous les ans, la SA enregistre des provisions ou reprises comptables en tenant compte de la valeur réelle des actions (gains ou pertes latentes) mais comme ces provisions (ou reprises) ne sont pas fiscalement déductibles (ou imposables), elle les déduit pour calculer les résultats des différents exercices concernés mais comptablement, ces provisions et reprises existent toujours.
Lors de la cession, la + value (prix de cession – prix d’achat) existe dans le résultat comptable (jeu des comptes 775-675) et ne doit pas être modifiée fiscalement (pas de taux particulier)
Par contre, les provisions et reprises, pourquoi doivent-elles être fiscalement traitées à la cession et comment ? (Référence exercice de fiscalité pratique 2005 p 60 chez Dunod) J’ai un élément qui manque dans la logique de traitement… ascompris;
Voilà je suis en pleine révision et je bloque sur les ± VALUES dans le calcul de l’IS. Comme c’est un cours que j’ai plus ou moins survolé, je souhaiterai que quelqu’un corrige mes dires et si il parvient réponde à mes questions. D’avance merci, c’est un peu long.
( BIC et IS sous entendent les entreprises soumises à…)
Pour le calcul des ± VALUES nettes, avec distinction entre court et long terme, ça va, j'ai compris. Je ne l’ai pas repris ici.
Pour les ± VALUES nettes professionnelles:
Les ± values à court terme : rien à faire excepté pour les « BIC » qui souhaitent étaler les + values sur 3 ans. (si constaté en N : 2/3 sont à retirer du résultat fiscal N, 1/3 à réintégrer sur N+1 puis 1/3 sur N+2)
Les ± values à long terme :
+ Value : à déduire du résultat fiscal car imposé à un tx différent (15% pour l’IS et 16% pour les BIC) excepté si l’entreprise est déficitaire et souhaite compenser son déficit.
-Values : non déductibles, elles sont toutes à réintégrer mais peuvent compenser les 10 prochaines + values nettes à long terme. (pourquoi l'administration considère qu'elles ne sont pas à prendre en compte ?)
Cas particulier des + values sur titres :
Concerne uniquement les IS.
Les obligations : ne sont pas considérées comme + value professionnelle => pas de traitement fiscal particulier.
Les actions :
Les titres de participation : cession considérée comme + value professionnelle, à déduire du résultat fiscal pour imposition séparée à 15%.
D‘OPCVM : tous les ans, la SA enregistre des provisions ou reprises comptables en tenant compte de la valeur réelle des actions (gains ou pertes latentes) mais comme ces provisions (ou reprises) ne sont pas fiscalement déductibles (ou imposables), elle les déduit pour calculer les résultats des différents exercices concernés mais comptablement, ces provisions et reprises existent toujours.
Lors de la cession, la + value (prix de cession – prix d’achat) existe dans le résultat comptable (jeu des comptes 775-675) et ne doit pas être modifiée fiscalement (pas de taux particulier)
Par contre, les provisions et reprises, pourquoi doivent-elles être fiscalement traitées à la cession et comment ? (Référence exercice de fiscalité pratique 2005 p 60 chez Dunod) J’ai un élément qui manque dans la logique de traitement… ascompris;