économie socialiste???

kelly

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Bonjour,

est ce que vous pouvez m'aider svp avec le sujet suivant :


après avoir comparé les mécanismes d'une économie socialiste planifiée à ceux d'une économie de marché que les pays socialistes veulent atteindre, vous déterminerez les conditions à remplir pour effectuer cette transition et les difficultés qui pourront ralentir ce processus.


je suppose qu'il faut que dans une parties je parle de l'eco socialiste et dans lautre celle du marché. et sous partie les conditions et les difficultés.
Mais je ne vois pas dutout ce que je peux dire la dessus, c'est quoi l'économie sicialiste?? ca sert à quoi? vous savez pas ou je peux trouvez des informations qui pourront m'aider à faire ce developpement svp?

merci beaucoupp
 

kelly

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merci mais

merci de m'avoir répondu, je suis allée sur les site, mais lorsque je trouve quelque chose sur mon sujet, g juste des titres parties, ou des questions, mais pas d'explications. est ce normal??
 

OmonOurs

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Désolé pour la longueur...

"Avec une économie centralisée, planificatrice…. Et surtout inefficace, les populations est européennes ne se faisaient plus d'illusions et avaient un sentiment d'appauvrissement relatif par rapport aux monde occidental. La chute du communisme témoigne de cette formidable volonté de changement et de l'espoir qu'avaient tous ces peuples dans les bienfaits de l'économie de marché. Mais comment bien opérer la transition d'une économie socialiste à une économie de marché ? La volonté de changement (avec une UE qui souhaitait voir ces pays s'ancrer politiquement à l'Ouest) poussait à une transition rapide, malgré tout, l'obsolescence de ces économies et les coûts sociaux qu'impliquaient une telle transition pouvait également inciter à la prudence.

Les défis posés par la transition ont d'abord amené à privilégier une transition rapide (I). Malgré tout, devant les difficultés internes rencontrées, la transition n'a pu s'opérer rapidement et semble condamnée à rester graduelle (II).

I) Les défis posés par la transition et les espoirs mis dans l'économie de marché ont conduit à privilégier une transition rapide

A. Définition de l'économie de transition et défis

L'économie de la transition ne peut s'analyser à travers les grilles de l'économie de marché ou de l'économie du développement. Ce n'est pas l'économie de marché : ces pays n'ont pas les outils de régulation, d'usages, d'institutions… permettant d'assurer de manière décentralisée la coordination des activités.

La plupart des grands pays de l'Est présentent un certain nombre de caractéristiques que l'on ne retrouve pas dans les pays en développement : degré plus élevé d'industrialisation, stabilité politique, maîtrise de la démographie, main d'œuvre plutôt qualifiée, couverture des besoins primaires de la population…etc.

On retrouve cependant, à des degrés variables, certaines caractéristiques structurelles qui handicapent un grand nombre de pays du Sud, comme par exemple l'insuffisance des infrastructures et la dégradation élevée de l'environnement. De même, le niveau important de l'endettement extérieur a freiné l'apport de capitaux extérieurs et aggravé la contrainte extérieure.` Ainsi, il s'agit, en quelque sorte, d'une situation un peu inédite au plan historique, marquée par la quasi élimination de l'ancienne régulation (centralisation, bureaucratie, planification…) mais non encore remplacée par le nouveau système avec, en prime, de nombreux éléments de fragilité : Une forte incertitude juridique et parfois politique, peu propice aux décisions engageant le moyen et le long terme, ainsi qu'aux investissements étrangers ;

Une forte contrainte sociologique : en effet, la nature égalitariste des pays socialistes assurait à la plupart des individus un emploi et la couverture des besoins primaires. Or, le passage à l'économie de marché implique une forte récession et des suppressions d'emploi, la libéralisation ainsi que la vérité des prix, ainsi qu'une limitation des déficits publiques (augmentation des inégalités). Cette contrainte est d'autant plus forte que parmi les motivations des populations pour modifier le système antérieur, la volonté de rattrapage du niveau de vie de l'Occident figurait en bonne place.

Les politiques à mettre en œuvre accentuent encore le processus récessif : politiques de stabilisation, politiques structurelles (législation sur les faillites, limitations des subventions…).

En même temps, les défis à relever étaient énormes :

- Privatisation pour développer la concurrence. Se heurte à des difficultés politiques, sociales, culturelles et économiques.

- La création d'un environnement concurrentiel

- La mise en place d'un système financier moderne.

- La mise en place d'un cadre juridique stable et favorable aux régulations micro économiques.

- La redéfinition du rôle de l'Etat.

- L'ouverture sur l'extérieur.

De façon générale, l’objectif majeur est de rompre avec le système communiste, et de se rapprocher le plus vite possible du mode de fonctionnement des économies occidentales telles que les États-Unis et surtout L’Allemagne.

1) Changer l’État

Les pays de l’ex-bloc communiste sortent d’un système où l’État est à la fois omniprésent et inefficace. Il convient donc en s’inspirant des économies libérales de réduire son poids et d ‘améliorer son fonctionnement.

A - Réduire son poids

La plupart des PECO vont réussir assez rapidement à limiter le poids de l’État et, plus généralement, du secteur public dans l’économie, dépassant parfois en ce domaine les performances des économies les plus libérales : on pourra même parler d’« ultralibéralisme » dans le cas de la Pologne ou de la Fédération de Russie.

B - Changer son rôle

- Passer du contrôle de l’économie à la garantie de fonctionnement du marché

L’État doit faire en sorte que le marché fonctionne. Pour cela, les autorités ont pour tâche de fixer les bases légales et institutionnelles de l’économie de marché ( droit de la propriété, droit des successions ). Des garanties doivent également être données par l’État aux investisseurs étrangers, en particulier l’assurance de pouvoir rapatrier leurs bénéfices.

- Assurer la réalisation des infrastructures indispensables

L’omniprésence de l’État dans les pays socialistes recouvrait une situation de quasi-sous-développement : mauvais état des routes secondaires et souvent même des grands axes, insuffisance de la voirie urbaine, faiblesse et dysfonctionnement du réseau téléphonique ).

En conséquence la « mise à niveau » va être spectaculaire dans certains cas ( télécommunications en Hongrie, en Pologne, en Tchécoslovaquie), mais plus difficile dans d’autres (réseau routier et autoroutier de la Fédération de Russie ).

2) Créer les mécanismes d’une économie de marché

a-Privatiser

- Augmenter le poids du secteur privé

Le secteur privé occupe une place marginale dans les pays du bloc communiste ( à quelques exceptions près : agriculture en Pologne, artisanat et petit commerce en Hongrie).

De plus des objectifs quantifiés sont parfois fixés : ainsi, le gouvernement hongrois issu des premières élections libres en 1991 se donne pour objectif une privatisation de l’économie atteignant 50% au moins du PIB en 1993-1994. Quantitativement, les privatisations sont importantes dans tous les PECO, mais sans pour autant que le mode de fonctionnement du secteur privé soit toujours satisfaisant.

- Créer un secteur privé efficace

La privatisation ne suffit pas à assurer le dynamisme et la rentabilité. De nouvelles méthodes d ‘organisation doivent être introduites ( gestion rationnelle des stocks, adéquation entre le facteur capital et le facteur travail ). Mais ceci n’est pas facile à réaliser et plusieurs années après le début de la période de transition, les candidats occidentaux à l’achat d’entreprises industrielles ou financières des PECO auront des mauvaises surprises qui les dissuadera d’effectuer la transaction. Par ailleurs, le risque existe qu’une privatisation de masse n ‘ entraîne une trop forte dispersion du capital entre les petits porteurs, peu habitués à une « culture d ‘entreprise ». La « privatisation par coupons » en République tchèque, Roumanie, Russie, Bulgarie et Moldavie est une illustration de ce risque : les détenteurs de coupons les remettent à des « fonds d’investissement » dont ils sont incapables de contrôler la gestion.

b- Libéraliser les prix et les salaires

- Rôle déterminant des prix en économie de marché

Les signaux fournis par les prix en économie de marché, leur niveau absolu et relatif, leur évolution conditionnent les décisions des agents économiques, entreprises et ménages. Or les pays du bloc socialiste ne disposent pas de ces signaux, les prix étant fixés par l’autorité centrale. L’objectif de ces PECO est de faire en sorte que la hiérarchie des prix reflète celle des coûts économiques. De plus la liberté des prix n’a d’effet que si elle s’effectue à tous les niveaux : produits de base, produits finis, produits intermédiaires, biens d’équipement.

-Libéraliser les salaires

En économie socialiste, l’échelle des revenus étant très resserrée, la libéralisation doit permettre de faire correspondre la rémunération du travail à sa productivité et, en accroissant la motivation des salariés, d’augmenter l’efficacité de ceux-ci.

c- Mettre en œuvre des pratiques de concurrence

L’un des objectifs majeurs des pays en transition sera de créer un cadre concurrentiel, permettant aux agents économiques de choisir, en fonction de critères de prix et de qualité, les produits qu’ils souhaitent se procurer. Cela implique la suppression des situations de monopole mais cette suppression ne sera pas toujours facile à réaliser ( ex : L’entreprise Gazprom en Russie ).

3) Créer le cadre financier de la vie économique

L’un des premiers objectifs en ce domaine est de créer un système bancaire « à deux niveaux » : c’est-à-dire dissocier les activités de l’institut d‘émission, ou banque centrale, de celles des banques commerciales.

a- L’institut d’émission

- Indépendance

Tous les gouvernements post-communistes souhaitent créer un institut d‘émission dont le modèle serait calqué sur celui des pays occidentaux ( en particulier sur celui de la Bundesbank allemande). De plus, cet institut devra être indépendant du pouvoir politique. Cette indépendance est en effet indispensable pour s’assurer que l’institut d’émission répond bien aux objectifs majeurs qui lui sont assignés dans les pays occidentaux : garantir la stabilité des prix et du taux de change.

- Pilotage de la politique monétaire

La situation de départ des économies en transition se caractérise généralement par une surliquidité. Cette pour cette raison que l’une des tâches de l’institut d’émission, pour répondre aux objectifs de stabilité des prix et du taux de change, sera de maîtriser la croissance des agrégats monétaires et d’établir un cadre réglementaire de distribution des crédits par le système bancaire.

b- Le système financier

- Les banques

Dans les PECO, à de rares exceptions près ( Hongrie ), le système bancaire fait défaut. Il s’agit donc de créer un réseau de banques commerciales, recueillant des dépôts et accordant des crédits. Ces banques doivent fonctionner selon les règles de l’économie de marché, et en particulier accorder des crédits en respectant un cadre réglementaire fixé par l’institut d’émission

-institutions financières non bancaires

Un réseau de compagnies d’assurance est à créer dans des économies où apparaissent de nouveaux besoins de couvertures des risques. Par ailleurs, la création d’un marché des capitaux, avec l’apparition des bourses de valeurs, peut contribuer à l’intermédiation des moyens de financement de l’économie et financer un secteur privé émergent.

B. La nécessité d'une transition rapide

La Pologne a été représentative de cette volonté de mener une transition rapide (J.Sachs est un des inspirateurs de cette politique).

Pour les tenants d'une transition rapide, une transition trop longue ou partielle présente des désavantages majeurs :

L'expérience montre (Hongrie dans les années 70 par exemple) que des réformes trop partielles ne peuvent guère donner que des résultats limités.

En outre, l'approche gradualiste néglige l'importance de la cohérence propre de l'économie de marché et de l'intérêt qu'il peut y avoir d'assurer une grande simultanéité entre les différents aspects de la réforme, car chaque élément (prix, concurrence, système bancaire, suppression des subventions, convertibilité de la monnaie…) est complémentaire.

Par ailleurs une mise en œuvre brutale des mécanismes de marché pourra seule surmonter les inerties bureaucratiques et les résistances de tous ordres.

Parallèlement, l'existence d'importants déséquilibres macroéconomiques exige que l'on procède d'autant plus rapidement.

Ainsi, seule une amélioration rapide de la production peut permettre à la fois de favoriser le dynamisme économique et de limiter la hausse des prix (tout en préservant ou en augmentant le revenu réel des salariés).

Enfin, sur un plan politique, la légitimité des dirigeants est européens, élus démocratiquement, doit leur permettre d'agir rapidement car des mesures de libéralisation limitées poseront de toutes façons des problèmes sociaux de grande ampleur et les forces hostiles à la poursuite des réformes pourraient, en s'amplifiant, compromettre le processus dans son ensemble.

On peut aussi considérer que le processus ne sera pas crédible aux yeux de l'opinion publique et des investisseurs étrangers que s'il est engagé avec une grande détermination.

Ainsi, les défis à relever et l'interconnexion de chaque pan de l'économie sur tous les autres invitent à mener les réformes sur tous les fronts à la fois et en même temps. L'Union Européenne a d'ailleurs poussé les pays de l'Est en ce sens avec le Programme PHARE par exemple et continue de subordonner l'élargissement à l'Est à un certain nombre de réformes clés pour que ces pays s'adaptent enfin à l'économie de marché. Les réformes à mener et les réformes menées l'ont été de manière très rapide et continue. Tous ces sacrifices ont néanmoins eu des conséquences importantes au niveau interne.

II) Les déséquilibres économiques internes découlant de cette transition amène inévitablement à opérer une transition graduelle

A. Des déséquilibres internes considérables

Le processus a été marqué dans un premier temps par une aggravation inévitable de la situation économique et par une certaine désillusion sur l'ampleur et la durée probable de la transition eu égard aux espoirs initiaux.

Ces pays ont souffert de dépression, de chômage et d'inflation.

La dépression :

l'économie de marché ne permet plus aux producteurs de vendre des produits à des coûts trop élevés ou de mauvaise qualité eu égard aux préférences des consommateurs. Le grand mouvement de restructuration de l'appareil productif a abouti à de près nombreuses fermetures d'entreprises. En outre, les tendances récessives se sont accrues avec l'effondrement des échanges intra CAEM. A nuancer : amélioration qualitative de la production/distribution, dynamisme du secteur privé qui se développe rapidement, amélioration du bien être de la population…

Le chômage :

Ici encore, la croissance du chômage est logique dans la mesure où les anciens pays socialistes étaient marqués par un chômage déguisé très important lié à la faiblesse de la productivité. Il faut cependant noter que la croissance du chômage ne résulte pas uniquement de la contraction de l'activité économique, mais aussi du fonctionnement défectueux du marché du travail (information rudimentaire en raison notamment d'un important sous équipement informatique, freins à la mobilité dus en grande partie à la pénurie de logements…).

Cette croissance du chômage, accompagnée d'une forte disparité suivant les régions et les secteurs porte en elle les germes d'un risque de dualisation et de tensions sociales accrues, fragilisant l'ensemble du processus.

L'inflation :

L'inflation qui était autrefois cachée, réprimée, et surtout contrôlée, a pu, avec la libéralisation des prix se relever. Cela d'autant plus que les entreprises publiques conservaient un monopole. C'est pourquoi on a assisté au début des années 90 à des hausses gigantesques de prix (+500% en Pologne en 1990).

B. La nécessité d'une transition graduelle

Ainsi, le coût de la transition rapide a été dur à assumer. Aujourd'hui, la plupart de ces pays restent assez éloignés de ce que l'on peut considérer comme étant une économie de marché.

La révolte de mineurs Roumains, la crise Russe, le retour du communisme…etc sont-ils autant de symbole de l'échec d'une transition rapide ?

Les tenants de la transition graduelle ont souligné la complexité de la transition qui rend toute précipitation dangereuse. La création et la mise en route des institutions nécessitent du temps. Enfin, il est nécessaire d'amortir le coût social élevé (récession, chômage, croissance des inégalités…) de cette mutation en étalant ses effets dans le temps. Il est clair que souvent, l'accent a été mis sur les transformations purement économiques et la grande faiblesse des pays en transition aujourd'hui réside surtout dans les infrastructures, les lacunes juridiques (pas de sécurité juridique…). Bref, l'adaptation politique n'a pu être aussi rapide que les transformations économiques.

Mais ce débat est quelque peu dépassé aujourd'hui. Il a perdu une grande part de sa signification dans la mesure où il est clair désormais que la transition prendra du temps et que les " thérapies de choc " sont quelque peu illusoires. Du reste, beaucoup d'auteurs se rattachent plutôt à une théorie " évolutionniste " (Murrel). Celle-ci est favorable aux objectifs des partisans du " Big Bang " mais en rejette les moyens. Il ne s'agit pas de recourir au marché, qui n'existe pas encore, mais provisoirement à la contrainte directe qui en l'état actuel est plus efficace. L'accent doit donc aujourd'hui être porté sur la stabilité des pouvoirs publics et la création d'un système juridique plus stable. Si la transition rapide prônée par l'UE et voulue par les PECO a peut-être été une erreur économiquement, elle était une obligation politiquement. Sortir du communisme et répondre aux attentes des citoyens étaient des nécessités au début des années 90 pour ancrer ces pays définitivement dans les valeurs de l'Occident. Aucune autre politique ne pouvait être envisagée. Les efforts consentis par ces pays ont été très durs, mais ils pouvaient espérer au bout du compte une intégration dans l'UE (cf. Programme PHARE). Malheureusement, les sacrifices, socialement trop lourds, et le fait que leur intégration pose problème à une Europe incapable de se réformer pour les accueillir ravive les tensions. Pour éviter que les déçus du " rêve de l'économie de marché " ne sur réagissent par leur mécontentement, un dosage doit être rapidement trouvé entre économie et politique quitte à intégrer dans l'Union des pays qui n'y sont économiquement pas prêts.

Conclusion

Le débat entre transition rapide ou transition graduelle a été de fait tranché puisqu'il est clair que la transition prend du temps. Elle ne peut donc être que graduelle. Au lendemain de la chute du communisme, les espoirs et l'envie de rattraper le temps perdu ont obligé à opérer une transition rapide. Il ne pouvait être question de patienter et les bénéfices de l'économie de marché ont sûrement été exagérés. Cette région de l'Europe reste un secteur stratégique et il faut éviter que les coûts sociaux engendrés par cette transition ainsi que les déceptions ne déstabilisent la région.

Aujourd’hui, la transition économique dans les PECO a donc un bilan mitigé. Certains pays ont réussi avec les nombreuses réformes à rentrer facilement dans l’économie de marché et ont aujourd’hui une forte croissance économique comme la Pologne ou encore la république tchèque et ont adhéré à l’union européenne cette année avec l’Estonie, la Hongrie et la Slovénie. Mais d’autres pays comme la Roumanie ou la Bulgarie ont un bilan assez négatif de cette transition économique avec un taux de chômage très élevé , une croissance économique faible et un PIB en dessous de leur niveau de 1989. Malgré ces exceptions le bilan de cette transition reste toutefois positif."



Peut être si c'est pas assez clair...

http://herve.dequengo.free.fr/Mises/Soc/LS_II_1_2.htm

http://www.lescommunistes.org/biblio/theorie-eco-socialisme.htm
 

kelly

New Member
Re: Désolé pour la longueur...

merci pour toutes ces informations, je pense que je vais pouvoir m'en sortir maintenant

merci beaucouppp


aurélie :)
 

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