L'écologie
Voilà le corrigé du résumé sur l'écologie (c'est celui des annabts)
Bon courage :wink:
RESUME SUR L’ECOLOGIE
PLAN DU RESUME
I – Une explosion quasi unanime de l’écologie
II – Mais cette apparence masque une grande diversité
Effet dynamisant de cette diversité.
III – Contrebalancé par les contradictions de l’écologie
La preuve par le bilan contradictoire dans tous les domaines :
international,
politique,
associatif.
IV – Donc deux visions opposées de l’écologie se dégagent
L’écologie a réussi à s’implanter et manifeste une nouvelle façon de vivre le social et le politique.
Au contraire, l’écologie a manqué à sa mission humaniste et universaliste.
CORRIGE DU RESUME (213 mots)
On assiste depuis peu dans le monde entier, mais particulièrement en Occident, à une explosion de l’écologie dans toutes les catégories et tous les secteurs de la société.
Toutefois, cet intérêt apparemment unanime masque une prodigieuse diversité dans les comportements, les aspirations, les mentalités, effervescence qui contribue d’ailleurs au dynamisme de l’écologie.
Mais cette variété, qui amalgame des aspects contradictoires, a des inconvénients. Derrière un intérêt commun pour la nature, l’écologie propose la plus hétéroclite des idéologies, comme le prouve le constat suivant : si au niveau international la prise de conscience est manifeste, les solutions proposées ne sont pas à la hauteur de la situation et sont mal perçues par les pays démunies. Si l’écologie progresse électoralement, cela traduit plutôt une déception de la politique traditionnelle. Si les associations écologistes sont actives, leur efficacité est souvent défensive et cantonnées au niveau local.
On pourrait donc estimer que la dynamique écologique est désormais lancée, portée par un ordre sociopolitique différent, encourageant autonomie, responsabilité civique et pragmatisme. Mais on pourrait aussi considérer que l’écologie doit s’inscrire nécessairement dans une problématique universaliste conduisant à la critique de l’organisation mondiale et la dégradation morale et politique qu’elle engendre.
L’écologie, ainsi, faillirait à sa vocation profondément humaniste.