Bonjour
Renoncer à l'épreuve n'était pas la solution. Par contre les enseignants concernés peuvent faire un courrier à l'Académie pour dénoncer non pas peut être la difficulté de l'épreuve mais tout simplement le décalage entre les enseignements dispensés et le contenu des dossiers. Lé décalage de points entre chacun, le décalage entre la réalité en entreprise et les thèmes choisis. Certains savent que j'enseigne en alternance et quand je vois le sujet de transac avec la gestion des 35 heures des commerciaux c'est à mourir de rire.
A la création de ce BTS j'étais satisfaite que l'Education Nationale prenne en compte les spécificités des métiers de l'immobilier et en fasse un diplôme spécifique, aujoursd'hui pour certains ce diplôme s'acquière grace aux matières générales (importantes et nécessaires), et d'autres qui sont reconnus en entreprise et font du bon travail se font avoir par certaines questions tellement mals formulées qu'elles en deviennent incompréhensibles à cause du stress, des 2H30 pas suffisantes. En sortant d'exam certains de mes élèves m'ont dit que l'on aurait du les préparer à des questions tordues et mal formulées, désolée nous ne savons pas faire parce que lors des BTS blancs notre souhait et de valider des compétences acquises ou non pas de piéger les élèves par des questions incompréhensibles. Notre prof des gestion était désolé en voyant le sujet, deux ans de décomptes de charges de copro ou locatives pour en arriver à des super comptables qui n'existent que dans peu de structures, c'est désespérant.
Bon une fois de plus je rale bien que les sujets en droit, en éco, en francais et en anglais étaient "normaux" et intéressants. Bizarre non que les sujets professionnels soient souvent source de problème? La question reste posée qui sont les rédacteurs de ces sujets qui n'ont pas vraiment grand chose à voir avec la réalité en entreprise, connaissent-ils vraiment les métiers enseignés ou se basent-ils sur nos fameuses fiches PICARD?
A suivre