Points forts :
. Professeurs très impliqués dans le monde professionnel (enfin de toute façon, si une école se met à se remplir de chercheurs, c’est qu’elle commence à trop ressembler à la fac pour correspondre aux critères de classement académique)
. Professeurs très proches des élèves et toujours présents pour nous aider (j’ai en tête mon responsable de majeure qui a passé quatre soirs d’affilé devant l’ordinateur avec moi pour m’aider à choisir mon double diplôme, mon professeur d’anglais qui est venu tous les jours de la semaine pour vérifier tous mes courriers pour mon année de césure)
.Direction de l’école et équipe administrative très proche des étudiants : à tout moment, on peut frapper à la porte du directeur ou du directeur des études pour parler d’un problème ou autre
. Grand nombre d’heures de cours (25 heures en moyenne par semaine)
. Cours répartis sur 4 premiers jours de la semaine pour qu’on puisse bosser à partir du jeudi midi pour payer nos études ou s’impliquer dans les assos
. Plusieurs cours dispensés en anglais comme International Market, International Business Environment, Organisational Behaviour, et ce quelle que soit la majeure (la spécialisation)
. Deux grandes périodes de stages obligatoires à l’étranger sur les 5 possibles (assuré d’être bilingue ou trilingue à la sortie de l’école)
. Possibilités de double diplôme très vastes (53 au total dans plus de 15 pays) : c’est donc la possibilité de partir à l’étranger en MBA ou MsC pendant la troisième année, d’y suivre les cours correspondants, de revenir à la fin de l’année inseecoise pour passer les exams de fin d’année et obtenir son Master Inseec, pour ensuite retourner à l’étranger en MBA ou MsC (ce type de cursus dure en général entre 1 an et 1 an et demi, donc plus long que la troisième année inseecoise) pour obtenir le diplôme.
Ce qui fait donc 2 diplômes en 1 an (ou 1 an et demi) et surtout pour le prix d’un.
. Comme je le disais précédemment, il y a 5 périodes professionnalisantes au cours des 3 ans (je ne compte donc pas l’année de césure que certains choisiront).
. Professionnalisation connue et reconnue par les entrepreneurs (je l’ai constaté à l’étranger pendant mes stages, notre école était présente sur les grilles de salaires)
. On était classé 4ème école professionnalisante de France il y a un an et demi et 6ème cette année.
. Propose l’alternance dès la première année
. 28 associations à l’INSEEC Bordeaux (et je pense au moins autant à Paris) qui permettent de s’épanouir dans tous les domaines (humanitaire, évènementiel, golf, foot, cuisine, sport extrème, etc…)
. Soirées et apéros organisés fréquemment qui permettent à tout le monde de se connaitre. Donc ambiance géniale au sein de l’école
. Ecole en pleine ville qui change des campus excentrés et coupés de tout
Points faibles :
. Le service des stages ne nous aide pas autant qu’on pourrait le souhaiter. Je pars en année de césure en Australie et ils n’ont par exemple pas d’offre dans cette zone, donc it’s up to me :-(
. Certains cours de majeures sont à mon goût trop espacés (en raison du calendrier professionnel des profs bien sur) et empêchent une bonne progression (certaines notions peuvent être floues après une semaine ou deux de battement).
. Certains cours sont difficiles à aborder et ne présentent pas d’intérêt flagrant pour notre futur boulot (une matière par semetre selon moi)
. La Summer Session (échange universitaire de fin de deuxième année avec des écoles étrangères prestigieuses) bien que très valorisante coûte assez chère.
. Etant donné que l'école est en plein centre ville, pas de resto-u à proximité, mais il semble que Mr Juppé soit disposé à changer ça d'ici quelques temps.
Je pense avoir parlé de l'essentiel ; si j'ai oublié des points, n'hésitez pas à me le dire et j'en parlerai. Enfin je ne sais pas tout de mon école non plus :smile:
Sub