S
Smart57
Guest
Moi je citerai juste Schopenhauer : " L'homme peut faire ce qu'il veut, mais il ne peut pas vouloir ce qu'il veut"
Forum des BTS
voulez vous encore changer le monde
- Auteur de la discussion reveuse
- Date de début
Même réaction tite rev' ...bobaby link=topic=14173.msg194528#msg194528 date=1144674723 a dit:
Sans vouloir casser le trip, il n'y a pas une faute là dedans ---> " [...] mais il ne peut pas vouloir ce qu'il peut. " ?Smart57 link=topic=14173.msg194707#msg194707 date=1144680871 a dit:
Les 0.01% par jour sur les transactions internationnales pour sortir le Tier monde de la précarité est une idée qui tient toujours la route... Pourquoi n'est-elle mise en avant uniquement par les journalistes ..?
Atzuki® link=topic=14173.msg195920#msg195920 date=1144764853 a dit:
Il est vrai que la taxe tobin serait un bon début pour montrer notre bonne volonté ....
Malheureusement ce sont souvent les gens comme nous qui ne faisons pas joujou avec la bourse qui y pense les autres ....
S
Smart57
Guest
Atzuki® link=topic=14173.msg195920#msg195920 date=1144764853 a dit:
Non c'est juste :wink2:
texte trouvé sur indymedia Paris
Nos futurs d'actifs et d'actives se dévoilent dans toute leur horreur, sacrifiant à une précarité accrue les paillettes démodées d'un défunt « droit du travail ». Villepin et ses potes nous pondent un contrat tout neuf pour flexibiliser la main d'oeuvre et rendre un peu plus intolérable l'entrée obligatoire dans la « vie active ». La nouveauté consiste à rendre officiel et légal le droit de licencier à tout moment et sans raison un employé de moins de 26 ans. Les élus acquiescent du double-menton (dans leur indifférence toute « démocratique ») et les marchands de prozac se frottent les mains...
Les grands syndicats étudiants, eux, se plaisent à mimer l'« urgence » et la « menace des acquis », plagiant consciencieusement leurs aînés : ceux qui ont la chance d'être (déjà !) des travailleurs. L'apprenti militant, trop heureux d'avoir trouvé un peu de taff (ironie du sort), se presse gaiement à la photocopieuse et chantonne déjà les slogans de l'après-midi. Résigné à ce monde depuis son plus jeune âge, il pourra du moins, croit-il, le rendre un peu moins con (en signant des pétitions) et passer quelques bons moments à l'ombre d'une banderole...
Le Travail, valeur-idole d'un monde domestiqué, impose son hégémonie sans partage pendant que disparait son but prétendu : son utilité sociale. A la manière d'un sermon parental, il répète son verdict et crie de plus en plus fort à mesure qu'il perd la face, à mesure qu'il perd le sens. « Travaillez coûte que coûte, dans n'importe quelle boite, à n'importe quel prix », voilà le sort que le réalisme de supermarché réserve aux humains dans sa grande utopie travailleuse et marchande... L'organisation collective de la nécessité, qui pousse chacun (même les plus riches) à se chercher un job et à trouver ça normal, est plus que jamais vecteur de misère, d'injustice, d'abêtissement et de servitude.
Le Progrès, ce gros maux justifiant tous les autres, semble consister aujourd'hui en une intensification croissante de la production à mesure que l'on invente des moyens qui permettraient, justement, de rendre cette production moins présente et moins pressante. Il est un mensonge, un piège que l'homme se tend à lui-même ! Progresser, en réalité, n'est rien d'autre que réduire la part de nécessité propre à l'humanité, pour faire émerger une part toujours plus grande de liberté et de créativité. Le capitalisme a étendu les frontières du nécessaire en s'agenouillant devant le concept absurde de « croissance », et a organisé la société autour de cette grande course contre le vide.
Tous aujourd'hui, cadres et ouvriers, curetons et athées, flics et syndicalistes, profs et étudiants, livrent leur confiance et leur conscience à ce discours uniforme : le Travail, si manifestement morbide et destructeur, sera l'unique solution Morale et Sociale ! Entendez-les supplier un emploi ! alors que le chantage salarial les dévore et les pourrit, les rend pauvres et dépressifs... En exigeant un « poste à vie », en suggérant aux pontes ministériels de meilleures tactiques pour mettre « la France au boulot », ils sacrifient leur dignité contre l'espoir de miettes, à la manière de l'esclave adulant ses chaînes, réclamant une cellule mieux décorée ou des menottes moins serrées...
Faire exister nos propres formes de vie, réinventer la paresse, la lenteur et le jeu. Occuper la rue, les facs, les lycées. Multiplier les banquets, les fêtes, les lieux autogérés. Quitter les bulles de l'isolement qui ont peu à peu remplacé toute forme de mise-en-commun, toute possibilité de rencontre... Le travail nous a appris à obéir et à souffrir en pensant que c'est bon. L'explosion conviviale (donc hautement politique) de nos envies de jeu et de partage mettra à bas sa logique absurde et nous libérera de son emprise, pour un moment, et peut-être plus.
NI CPE , NI CDI (plutôt rester au lit) Travailler c'est mourir. Vivre c'est maintenant.
Nos futurs d'actifs et d'actives se dévoilent dans toute leur horreur, sacrifiant à une précarité accrue les paillettes démodées d'un défunt « droit du travail ». Villepin et ses potes nous pondent un contrat tout neuf pour flexibiliser la main d'oeuvre et rendre un peu plus intolérable l'entrée obligatoire dans la « vie active ». La nouveauté consiste à rendre officiel et légal le droit de licencier à tout moment et sans raison un employé de moins de 26 ans. Les élus acquiescent du double-menton (dans leur indifférence toute « démocratique ») et les marchands de prozac se frottent les mains...
Les grands syndicats étudiants, eux, se plaisent à mimer l'« urgence » et la « menace des acquis », plagiant consciencieusement leurs aînés : ceux qui ont la chance d'être (déjà !) des travailleurs. L'apprenti militant, trop heureux d'avoir trouvé un peu de taff (ironie du sort), se presse gaiement à la photocopieuse et chantonne déjà les slogans de l'après-midi. Résigné à ce monde depuis son plus jeune âge, il pourra du moins, croit-il, le rendre un peu moins con (en signant des pétitions) et passer quelques bons moments à l'ombre d'une banderole...
Le Travail, valeur-idole d'un monde domestiqué, impose son hégémonie sans partage pendant que disparait son but prétendu : son utilité sociale. A la manière d'un sermon parental, il répète son verdict et crie de plus en plus fort à mesure qu'il perd la face, à mesure qu'il perd le sens. « Travaillez coûte que coûte, dans n'importe quelle boite, à n'importe quel prix », voilà le sort que le réalisme de supermarché réserve aux humains dans sa grande utopie travailleuse et marchande... L'organisation collective de la nécessité, qui pousse chacun (même les plus riches) à se chercher un job et à trouver ça normal, est plus que jamais vecteur de misère, d'injustice, d'abêtissement et de servitude.
Le Progrès, ce gros maux justifiant tous les autres, semble consister aujourd'hui en une intensification croissante de la production à mesure que l'on invente des moyens qui permettraient, justement, de rendre cette production moins présente et moins pressante. Il est un mensonge, un piège que l'homme se tend à lui-même ! Progresser, en réalité, n'est rien d'autre que réduire la part de nécessité propre à l'humanité, pour faire émerger une part toujours plus grande de liberté et de créativité. Le capitalisme a étendu les frontières du nécessaire en s'agenouillant devant le concept absurde de « croissance », et a organisé la société autour de cette grande course contre le vide.
Tous aujourd'hui, cadres et ouvriers, curetons et athées, flics et syndicalistes, profs et étudiants, livrent leur confiance et leur conscience à ce discours uniforme : le Travail, si manifestement morbide et destructeur, sera l'unique solution Morale et Sociale ! Entendez-les supplier un emploi ! alors que le chantage salarial les dévore et les pourrit, les rend pauvres et dépressifs... En exigeant un « poste à vie », en suggérant aux pontes ministériels de meilleures tactiques pour mettre « la France au boulot », ils sacrifient leur dignité contre l'espoir de miettes, à la manière de l'esclave adulant ses chaînes, réclamant une cellule mieux décorée ou des menottes moins serrées...
Faire exister nos propres formes de vie, réinventer la paresse, la lenteur et le jeu. Occuper la rue, les facs, les lycées. Multiplier les banquets, les fêtes, les lieux autogérés. Quitter les bulles de l'isolement qui ont peu à peu remplacé toute forme de mise-en-commun, toute possibilité de rencontre... Le travail nous a appris à obéir et à souffrir en pensant que c'est bon. L'explosion conviviale (donc hautement politique) de nos envies de jeu et de partage mettra à bas sa logique absurde et nous libérera de son emprise, pour un moment, et peut-être plus.
NI CPE , NI CDI (plutôt rester au lit) Travailler c'est mourir. Vivre c'est maintenant.
Une personne meurt de faim toutes les 3,6 secondes; 24 000 par jour (dont 17 000 enfants); 8 765 000 par an.
841 millions d’êtres humains souffrent de la faim dans le monde; nous disposons des ressources suffisantes pour nourrir 12 milliards d’individus.
1,5 milliard d’humains n’ont pas accès à l’eau potable; ils seront 5 milliards en 2025.
30 000 morts, chaque jour, dues à des maladies liées à une eau impropre.
L’équivalent d’un stade de foot de forêt tropicale humide disparaît toutes les 5 secondes; la surface de la Grèce est déboisée chaque année.
Les 200 hommes les plus riches du monde possèdent autant que les 2 milliards 300 millions les plus pauvres.
Les 3 hommes les plus fortunés de la planète sont aussi riches que les PIB cumulés des 48 pays les plus pauvres.
L'écart de richesses entre le 5ème de la population le plus riche et le 5ème le plus pauvre est de 1 pour 74; il a doublé depuis les années 60.
Chaque vache de l’UE reçoit 3$ de subvention par jour; 46% des Africains vivent avec moins de 1$ par jour.
1 milliard d’enfants vivent sous le seuil de pauvreté.
En 2005, toutes les 3 secondes, un enfant meurt à cause de l'extrême pauvreté.
17 millions d´enfants meurent chaque année à cause de maladies facilement curables (46 575 par jours).
En France, 7 enfants sur 10 passent leur bac. En Afghanistan, 1 enfant sur 4 ne passe pas l’âge de 5 ans.
20% des enfants de la planète ne sont pas scolarisés ; 250 millions doivent travailler comme main d´½uvre, esclaves des firmes transnationales.
Chaque année dans le monde, 2,2 millions de personnes meurent d'un accident ou d'une maladie d'origine professionnelle; plus de 6 000 chaque jour.
L'OCDE prévoit, pour un futur proche, un taux de chômage contrôlé à près de 30% de la population active. Aujourd’hui, 900 millions de personnes sont sans travail.
On compte entre 400 000 et 500 000 SDF en France, où 2 millions de logements sont inoccupés.
Pendant ce temps, le budget publicitaire des pays riches est de 500 milliards de dollars par an et les dépenses militaires annuelles mondiales s’élèvent à plus de 1 000 milliards de dollars, soit le même montant que celui des revenus mondiaux annuels des organisations criminelles transnationales.
Sources: rapports officiels de la FAO (ONU), de l’OCDE, de l’OIT, et de l’UNICEF
Pour relativiser le bts quelque chiffre qui font bien mal au coeur .... :cry:
841 millions d’êtres humains souffrent de la faim dans le monde; nous disposons des ressources suffisantes pour nourrir 12 milliards d’individus.
1,5 milliard d’humains n’ont pas accès à l’eau potable; ils seront 5 milliards en 2025.
30 000 morts, chaque jour, dues à des maladies liées à une eau impropre.
L’équivalent d’un stade de foot de forêt tropicale humide disparaît toutes les 5 secondes; la surface de la Grèce est déboisée chaque année.
Les 200 hommes les plus riches du monde possèdent autant que les 2 milliards 300 millions les plus pauvres.
Les 3 hommes les plus fortunés de la planète sont aussi riches que les PIB cumulés des 48 pays les plus pauvres.
L'écart de richesses entre le 5ème de la population le plus riche et le 5ème le plus pauvre est de 1 pour 74; il a doublé depuis les années 60.
Chaque vache de l’UE reçoit 3$ de subvention par jour; 46% des Africains vivent avec moins de 1$ par jour.
1 milliard d’enfants vivent sous le seuil de pauvreté.
En 2005, toutes les 3 secondes, un enfant meurt à cause de l'extrême pauvreté.
17 millions d´enfants meurent chaque année à cause de maladies facilement curables (46 575 par jours).
En France, 7 enfants sur 10 passent leur bac. En Afghanistan, 1 enfant sur 4 ne passe pas l’âge de 5 ans.
20% des enfants de la planète ne sont pas scolarisés ; 250 millions doivent travailler comme main d´½uvre, esclaves des firmes transnationales.
Chaque année dans le monde, 2,2 millions de personnes meurent d'un accident ou d'une maladie d'origine professionnelle; plus de 6 000 chaque jour.
L'OCDE prévoit, pour un futur proche, un taux de chômage contrôlé à près de 30% de la population active. Aujourd’hui, 900 millions de personnes sont sans travail.
On compte entre 400 000 et 500 000 SDF en France, où 2 millions de logements sont inoccupés.
Pendant ce temps, le budget publicitaire des pays riches est de 500 milliards de dollars par an et les dépenses militaires annuelles mondiales s’élèvent à plus de 1 000 milliards de dollars, soit le même montant que celui des revenus mondiaux annuels des organisations criminelles transnationales.
Sources: rapports officiels de la FAO (ONU), de l’OCDE, de l’OIT, et de l’UNICEF
Pour relativiser le bts quelque chiffre qui font bien mal au coeur .... :cry:
aude98 link=topic=14173.msg124888#msg124888 date=1138720224 a dit:
Bon, moi aussi je suis une petite flemmarde et je n'ai pas tout lu :blush: Mais je m'exprime quand même!!! :biggrin: lol
Je m'attarde sur ce post précisément, pour deux raisons. La première : je bosse à chaque vacances scolaires à la Sagem sur... "leur-fax-de-merde-qui-marchent-pas". Mon boulot c'est de les tester pour voir si tout marche bien avant qu'on les envoie aux clients... :chessy: Mais en général, tout marche bien, et en cas de souci pas de souci, on répare! lol.
Deuxième raison : je crois que si chacun fait un tout petit effort à son échelle, il y aura une sorte d'effet papillon qui pourra faire avancer les choses. Mais bon, avant que chacun y mette du sien, on n'est pas sorti de l'auberge! :closedeyes: En attendant, je continue à faire quelques petits efforts de mon côté : bonne humeur, tri des déchets, économie de papier, de lumière (ne pas la laisser allumée dans une pièce où il n'y a personne), etc...
Une idée me vient en tête, utopique peut-être : et si on fixait une date, genre samedi par exemple (comme ça on a le temps de prévenir un max de gens), et qu'à cette date, chacun fasse un geste à sa façon (oui je sais, ça fait un peu chain-mail, mais bon :chessy: ). Je sais pas, c'est peut-être idiot?
ascompris;Ah oui, j'oubliais! VOTER bien sûr! :biggrin: Non, ça ne change pas le monde tout d'un coup, là, comme ça, mais ça y contribue! Comme on dit "il y a des gens qui sont morts pour qu'on ait le droit de voter" alors un peu de respect m**** :chessy: Nan mais bon, il ne faudrait pas oublier que c'est un devoir que chaque citoyen se doit d'effectuer... Considérons le vote comme un premier pas vers un monde meilleur :happy:
N
Nessscafe
Guest
Smart57 link=topic=14173.msg194707#msg194707 date=1144680871 a dit:
j'adore sa théorie sur la volonté (merci nico)... meme si c'est un peu flippant :unsure:
mirzhin link=topic=14173.msg171082#msg171082 date=1142428738 a dit:
le monde a déja changé plein de fois. mais on s'en aperçoit avec le recul et l'expérience. personnellement, j'ai l'impression que nous nous sommes tellement embourbés dans nos libertés que nous nous sommes paradoxalement emprisonnés.
reveuse link=topic=14173.msg245331#msg245331 date=1148451725 a dit:
je suis pas d'accord. je pense que le monde n'a pas avancé... comme tu l'aurais voulu. mais le droit de vote est important, dans le sens où beaucoup de pays aujourd'hui vivent en autarcie, sous la gouverne d'un dictateur ou d'un tyran. rien que pour eux, réjouissons nous de pouvoir voter.
ce n'est pas le vote, le problème, mais ceux qui se présente. :closedeyes:
Nessscafe link=topic=14173.msg245368#msg245368 date=1148455022 a dit:
:aplause: :aplause: :aplause:
C'est exactement ça le problème! Mais ce n'est pas une raison pour ne pas voter... Je crois que je préfère voter "par défaut" plutôt que pas du tout. Au moins comme ça j'exerce mon devoir de citoyenne (+1 :closedeyes: lol) et si ça peut permettre d'avoir "le moins pire du mauvais" et ben c'est déjà mieux que rien.
N
Nessscafe
Guest
reveuse link=topic=14173.msg245574#msg245574 date=1148464643 a dit:
présente-toi alors. quel age as-tu ?
Hihi oui oui, présente-toi, comme ça on aura pas que des pourris aux prochaines élections :biggrin: Nan, mais plus sérieusement, pour moi c'est hyper important de voter, on reste pas dans notre coin à se plaindre, on fait au moins un petit pas. Et un petit pas + un petit pas + un petit pas + un petit pas + un petit pas +....+ un petit pas = peut-être du changement :smile:
Et sinon, je vois que ma "super" idée pour samedi elle plaît à personne :cry: lol Trop utopique, je le savais! :chessy:
Et sinon, je vois que ma "super" idée pour samedi elle plaît à personne :cry: lol Trop utopique, je le savais! :chessy:
je pense que le simple fait de voter ne changera pas la planete ... depuis toujours l'homme etant un animal a besoin de se trouver un leader ... le vote c'est un peu ca ... le gouvernement se fout de nous a longeur d'année mais tous les cinq ans c'est engagez vous ...
Je trouve que notre pays et nos politicien manquent d'ambitions ... quand on vois que le bresil est plus avancée que nous en biocarburant ca fait peur ...Quand on voit qu'au 21eme siecle on a toujours pas reglée dans notre pays le probleme de la precarité c'est encore pire ....
J'espere que "notre" prochain gouvernement prendra d'autre mesure que des "fantoches" comme le cpe ou l'immigration choisi ... des mesures d'avenir sur la pollutions, les ogm, la pauvreté dans le monde
reveuse tu reve trop :fleche:
Je trouve que notre pays et nos politicien manquent d'ambitions ... quand on vois que le bresil est plus avancée que nous en biocarburant ca fait peur ...Quand on voit qu'au 21eme siecle on a toujours pas reglée dans notre pays le probleme de la precarité c'est encore pire ....
J'espere que "notre" prochain gouvernement prendra d'autre mesure que des "fantoches" comme le cpe ou l'immigration choisi ... des mesures d'avenir sur la pollutions, les ogm, la pauvreté dans le monde
reveuse tu reve trop :fleche:
Pourquoi est-ce difficile de changer le monde ? Parce q'il est difficle de changer la nature de l'homme tout simplement.
L'homme est violent par nature, il veut la guerre .
Il veut sentir qu'il est le plus fort, ca passe par l'argent .
C'est l'homme qu'on doit remmettre en question . Tout part de là .
C'est pourquoi nous ne changerons pas le monde . Il faut trouver sa place, et c'est déà pas si mal .
L'homme est violent par nature, il veut la guerre .
Il veut sentir qu'il est le plus fort, ca passe par l'argent .
C'est l'homme qu'on doit remmettre en question . Tout part de là .
C'est pourquoi nous ne changerons pas le monde . Il faut trouver sa place, et c'est déà pas si mal .
Itisch link=topic=14173.msg247652#msg247652 date=1148634649 a dit:
Exactement, c'est en changeant l'homme qu'onchangera le monde .
Pour reveuse : moi egoiste? Pourquoi parler sans savoir ? Si c'est pas capable d'entendre les opinions des autres sans les attaquer dégage, tu n'as pas ta place ici .
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Que pensez vous de la nouvelle réforme (mise en application aujourd'hui) de la sécurité sociale?
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